La troisième partie de Fleur d'Ivoire est placée sous le triple signe de la solitude, de l'arrachement et de l'exil.
Elle s'ouvre par une cérémonie de solitude. Au centre, un événement sonore inattendu surgit soudain de la pénombre silencieuse et fait un court moment ruisseler son emblème scintillant. Il est aussitôt suivi de l'arrachement qui conduit à l'exil en une ville étrangère, Paris dans le roman, puis dans les innombrables pièces d'un immense appartement où des objets composent des collections étranges, presque fantomatiques. La solitude y puise de nouvelle réserves intérieures et s'abandonne pleinement à ses modulations les plus intimes.
jeudi 2 avril 2009
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